Parce que je t’aime, Guillaume Musso

Synopsis :

                Layla, petite fille de cinq ans, disparaît dans un centre commercial de Los Angeles. Ses parents, brisés, finissent par se séparer. Cinq ans plus tard, elle est retrouvée à l'endroit exact où l'on avait perdu sa trace. Elle est vivante mais reste plongée dans un étrange mutisme. A la joie des retrouvailles, succèdent alors les interrogations : où était Layla pendant cette période ? Avec qui ? Et surtout : pourquoi est-elle revenue ? Une histoire d'amour envoûtante, un livre profondément humain qui vous plonge dans le mystère et le suspense, un dénouement que vous n'oublierez pas.   

Ressenti :

                Un des derniers Musso que je n’avais pas encore lu. Pas franchement emballé par le synopsis, d’où le temps que j’ai mis à me décider à le lire, j’ai fini par sauter le pas. Et je n’ai pas été déçu.

                C’est l’histoire de Mark, d’Evie, d’Alyson. Tous trois ont vécu un grand malheur. Tous trois sont au bord du précipice. Mais tous trois ont la chance de « connaître » Connor. Meilleur ami de Mark, psy d’Alyson, ange gardien d’Evie, il va tenter de venir en aide à chacun d’eux. Mark a perdu sa petite fille Layla, Evie vit dans la misère et veut venger sa mère, Alyson est fille de milliardaire et se détruit à coup d’excès devant les paparazzis qui épient ses faits et gestes. 

                C’est l’histoire d’apprendre à pardonner, d’apprendre à faire son deuil, d’apprendre à recommencer à vivre après un drame. C’est plein d’émotions, c’est touchant.

                On retrouve évidemment quelques éléments « faciles » des Musso et autre Lévy, notamment le meilleur ami dévoué et le héros meurtri. Mais la lecture est très fluide et l’histoire m’a surpris. Car la solution est originale, bien qu’extrêmement capillotractée. S’il y a eu quelques longueurs, elles n’ont pas été rébarbatives non plus. 

                En somme, une assez bonne lecture-détente, comme toujours avec Musso.